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Donnons une voix aux oubliées !

Phyto-info redonne une voix aux plantes médicinales oubliées

Donnons une voix aux oubliées !

Face à l'oubli de nombreuses plantes médicinales, Phyto-info s'engage à valoriser les moins connues et les moins étudiées.

Lorsqu’on commence à s’intéresser aux plantes médicinales, on démarre par les plus connues, les plus accessibles, celles avec lesquelles on est certain de ne pas se “planter”… le calendula (Calendula officinalis), la sauge (Salvia officinalis)… parce que lorsqu’on cueille une plante il faut être certain que c’est la bonne. Nombreuses sont celles qui se ressemblent et toutes ne sont pas bienveillantes avec l’espèce humaine. Pas qu’on veuille vous alarmer, mais tout de même, restons prudents.

Donc quand on commence à s’intéresser aux plantes, on démarre avec les grands classiques, et c’est bien. On trouve énormément d’informations. Tous les ouvrages sur les plantes médicinales, ou presque, en parlent. On nous explique comment les utiliser et quelles parties employer. On trouve relativement facilement leurs contre-indications, leurs précautions d’emploi et, le cas échéant, leur toxicité. On nous communique également leurs intéractions médicamenteuses, si on peut les utiliser lorsqu’on attend un heureux événement et si on peut en faire profiter notre progéniture et à partir de quel âge. Et une fois de plus, c’est une bonne chose. C’est rassurant de voir que ces connaissances sont à la portée de ceux et celles qui veulent se réapproprier ces savoirs ancestraux.

Seulement voilà, quand est-il du savoir des plantes un peu moins connues ?

Certaines plantes, présentant un intérêt économique évident pour les grandes industries pharmaceutiques, sont bien étudiées par les chercheurs, et avec la publication en accès libre qui se démocratise à vitesse grand V, il est maintenant facile d’accéder aux papiers de recherche. Par contre, lire un article de recherche n’est pas toujours chose aisée, il faut pouvoir décrypter le langage des scientifiques même s’ils écrivent dans notre langue maternelle. Et ne nous cachons pas la face, les papiers de recherche sont souvent écrits en anglais. Donc, pour comprendre les résultats d’une étude, il faut au minimum un bagage scientifique, de préférence dans la recherche, et anglais première ou deuxième langue. Vous allez me dire, ça commence à faire compliqué pour se faire une tisane.

Et reste les grandes oubliées de l’histoire que très peu d’ouvrages mentionnent et qu’aucun scientifique n’étudie simplement par manque de temps ou manque de financement. La connaissance de ces plantes, effritée depuis le début de la révolution industrielle, s’enfonce désormais dans les méandres du temps, laissant derrière elle un silence assourdissant. Oh, c’est tellement poétique, on en aurait presque les larmes aux yeux 🙄

Tout ça pour dire que, bien que certaines plantes soient très peu représentées dans la littérature, Phyto-info s’attache à leur redonner un deuxième souffle en les référençant dans notre base de données, même si on ne les trouve que dans une seule de nos sources. Nous nous assurons toutefois de disposer de données fiables sur leurs propriétés thérapeutiques et leurs utilisations traditionnelles, y compris les dosages recommandés.


Pour découvrir notre outil de recherche de plantes, dirigez-vous sur cette page.

Si notre outil de recherche vous intéresse, plus d’info sur phyto-info.com

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